Est-ce VRAIMENT pour moi ?

Ce que tu découvriras dans cet article :

  • Le budget (précis) pour ton premier achat
  • Est-ce que flipper des business est chronophage ?
  • Les compétences nécessaires pour te lancer (correctement)
  • Les bénéfices qu'on peut espérer atteindre
  • Le niveau de risque auquel s'attendre
  • S'il faut déléguer ou non (spoiler : ça dépeeend)
  • Comment et où trouver un business sain ET rentable

 

Tu as encore as questions après le cours avancé ? Pas de problème, pour approfondir ta connaissance du Business Flipping, tu peux soit assister à cette conférence, soit t’inscrire ci-dessous !

MARRE DE LIRE DU BLA-BLA (certes, passionnant) ET ENVIE DE CONCRET ?

Bonne nouvelle, tu es prêt.e à récupérer...

– Bonjour à toutes et à tous !

*crépitement de flash*

– Si aujourd’hui je participe à cette conférence de presse, c’est parce que dès que je dis « Business Flipping », les questions pleuvent… Alors plutôt que d’y répondre une par une de manière désordonnée, voilà l’occasion rêvée de vous apporter une réponse complète.

*brouhaha dans la salle*

– Qui veut commencer ?

*une trentaine de mains se dressent dans le public*

– Bon… Je vous propose qu’on y aille dans l’ordre, comme ça pas de jaloux ! Madame ?

– Bon…Bonjour. Je… je me demandais… je veux dire… j’ai pas beaucoup d’économies vous voyez mais… j’aimerais beaucoup investir. Et du coup… combien il me faut d’argent pour commencer ?

– Pour acheter votre premier business ? Ma foi dans la théorie quelques euros suffisent, car il y a littéralement des business à TOUS les prix. Dans les faits, la plupart des business qu’on juge « intéressants » se situent plutôt entre 5 000 et 40 000€, pour une raison simple : en dessous de 5 000€, il y aura probablement un peu de « boulot » à fournir avant qu’il soit opérationnel (et si on a assez d’argent pour s’en passer, tant mieux), et au-dessus de 40 000€ une revente avec une belle plus-value financière sera plus difficile (la boîte sera peut-être devenue trop chère pour la majorité des acheteurs par exemple).

– Merci, mais… vous n’auriez pas des chiffres plus précis ? Je veux dire, imaginons que j’aie… 18 000€ de côté. Il faudrait que je mette combien pour que ça marche le mieux possible ?

– Si c’est votre premier achat, je vous conseillerais de ne pas dépasser un tiers de cette somme, soit 6 000€. Déjà parce qu’en cas de coup dur il faut toujours avoir un petit matelas de sécurité… et ensuite parce que si vous souhaitez investir dans ce business une fois l’achat réalisé (par exemple pour avoir des conseils, acheter un logiciel, une formation…), il vous faut un fond de roulement dans lequel puiser. Ça répond mieux à votre question ?

– Oui tout à fait, merci.

– Parfait. Monsieur ?

– Ma question ira droit au but : Est-ce que ça prend du temps ? Parce que moi, du temps, j’en n’ai pas.

– Comme tout investissement et toute activité, il y a un temps incompressible. Néanmoins si vous avez pris le temps de venir ici… C’est que vous pouvez encore investir quelques minutes de votre temps dans une nouvelle activité. À vrai dire, tout dépend de votre niveau d’apport financier initial, voulu ou subi…

Je m’explique :
Si vous achetez un  business qui tourne déjà et/ou que vous ne souhaitez pas vous y investir, vous pouvez déléguer la totalité de la gestion : une fois les prestataires trouvés et l’organisation bouclée, on parle d’un business passif (moins de 30 minutes de gestion par mois – une goutte dans votre agenda mensuel).

Si en revanche vous achetez un business très peu cher, alors il faudra très probablement quelques jours pour le remettre sur pied de manière optimale. C’est un peu comme l’immobilier ! Si vous achetez un T2 à 10 000€, vous vous doutez qu’il va falloir remonter ses manches… Alors qu’à 200 000€ vous vous attendez à un certain niveau de finitions.
Cela répond-il à vos questionnements ?

– *grommellement incompréhensible*

– … très bien ! Oui Madame ?

– Bonjour Madame ! Merci de répondre à nos questions. Alors en fait j’ai vraiment envie de me mettre au Business Flipping, mais je n’ai jamais vendu des choses, ou géré des sites… Je sais me servir d’un ordinateur hein, mais je veux dire… C’est tout. Quelles compétences faut-il pour faire ça bien ?Je peux m’en sortir vous croyez ?

– Excellente question ! Avec un peu de curiosité et d’envie, vous vous en sortirez, évidemment. C’est un peu la même balance que pour la question précédente :

Si vous achetez un business à plus de 5 000€ et/ou que vous ne voulez pas y passer beaucoup de temps, il faut surtout être organisé et savoir déléguer.
En revanche si vous avez un plus petit apport et/ou que vous voulez mettre la main à la pâte, il vous sera utile d’apprendre à utiliser wordpress (pour gérer les sites), les publicités Facebook… et d’avoir un certain attrait pour la gestion et la vente !
Il y a plein de sites et de vidéos youtube qui vous expliquent comment faire, et la personne qui vous vendra son site pourra vous expliquer les processus lors de la transmission.

En résumé, il vaut mieux avoir de la curiosité pour le marketing, ou beaucoup d’argent pour tout déléguer ! Mais si vous êtes venue aujourd’hui, je ne doute pas que vous ayez a minima la curiosité. Alors, vous pensez pouvoir vous lancer ?

C'EST LE MOMENT DE TE LANCER ET DE PASSER à L'ACTION ?

Alors bonne nouvelle, tu es prêt.e à récupérer...

– J’ai un peu peur de ne pas être assez forte en informatique… mais j’ai quelques économies donc je vais bien m’entourer je pense.

(Brigitte ? Elle SAIT s’entourer)

– Oui, c’est sage et ça vous fera économiser énormément de temps. Monsieur ?

– Bonjour. Ma question est peut-être un peu cavalière mais… Combien peut-on espérer gagner grâce au Business Flipping ?

– Rien de cavalier je vous rassure ! C’est plutôt sain de s’inquiéter de l’efficacité potentielle de ses investissements en réalité. Il n’y a hélas pas de réponse normée, vous vous en doutez ! Mais il y a 2 facteurs principaux :

Un facteur financier : un business très peu cher peut être une excellente affaire OU un business potentiellement un peu fragile. Une boîte très chère ne permettra quant à elle pas forcément de faire d’aussi grosses bascules qu’un business milieu de gamme. C’est pour ça qu’on préfère les boîtes entre 5 000 et 40 000€.

Et il y a aussi un facteur investissement : si vous mettez plus de temps/d’énergie, il est probable que les résultats soient plus élevés (je dis probable car… tout dépend de votre niveau de gestion ! Parfois il est préférable de sous-traiter à des experts et/ou de se faire accompagner).

– Hm soit… Mais vous n’auriez pas quelques chiffres en tête ?

– Si bien sûr ! Prenons le cas d’un des derniers business qu’a acheté Bertrand, mon patron. C’est une boutique e-commerce de produits pour la maison qu’il a achetée 8 500€ en 2021. Il a fait ses premières ventes au bout de 2 jours, était rentable au bout de 4 mois et générait 7 000€ de bénéfices mensuels au bout de 8 mois. Aujourd’hui, c’est 12 000€ de bénéfices mensuels et la vente est estimée à fin 2023, pour un coût compris entre 200 000 et 250 000€.

Ce qui fait un bénéfice total (plus-value de vente + bénéfices d’exploitation) de 420 000€ (un coefficient multiplicateur de 50 !!) en 22 mois, en y passant en moyenne 30 minutes mensuelles.
Le tout sans risque majeur (sauf s’il y a une crise économique et/ou politique mondiale). Qu’en dites-vous ?

– Eh ben que c’est… pas mal du tout. Pas mal du tout.

– Ravie que ça vous parle. Oui Monsieur ?

Mais est-ce qu’avec un tel rendement c’est quelque chose de fiable ? Parce que les super culbutes genre cryptos on connait, mais niveau risque c’est pas exactement ce dont j’ai envie pour mes économies…

*brouhaha général*

– Effectivement en général dans l’investissement, le risque est corrélé au rendement. Mais il y a une donnée à prendre en compte ici. Si on s’y prend bien, on achète un business sous-évalué (car on travaille avec des amateurs). Donc on achète un business bien moins cher que sa valeur réelle !

En immobilier, même si le vendeur se fait « un peu avoir par ignorance », il ne vendra jamais son bien le millième de son prix sauf situation exceptionnelle. Du coup, même en y passant peu de temps vous pouvez tout à fait envisager une culbute financière supérieure à x10 à la revente en BF, le tout avec un investissement initial (et donc un risque) minime.

L’autre argument qui rend le BF très sécure, c’est que les business que vous allez acheter auront non seulement réussi là où 92% des autres boîtes auront échoué (ils auront eu des résultats, des gains), mais auront également accumulé des données pendant des mois, voire des années !

Et qui dit prédictibilité dit… sécurité.
Et concernant les cryptos, les NFT, les start up alléchantes… Evidemment, les gains potentiels peuvent être astronomiques. Mais dans ces systèmes, les hauts rendements sont invariablement corrélés à des risques élevés : il faut accepter la volatilité, et miser uniquement des économies non « vitales », qu’on peut accepter de perdre.

– Je vois. Merci !

– Avec plaisir ! D’autres questions ?

– Oui Madame ?

– Je veux bien déléguer moi, mais ça va coûter des sous n’est-ce pas ? Vous nous conseillez d’apprendre à faire nous-même pour économiser ou pas ?

– Tout dépend de votre niveau de compétences, de votre intérêt ET de vos économies. En fait, on délègue pour gagner du temps et de l’énergie, mais en échange on investit une somme d’argent. Qu’est-ce qui a le plus de valeur pour vous ? Votre temps ? Votre énergie ? Vos économies ?
Et vos réponses seront pondérées selon votre niveau d’expertise actuel : si vous n’avez aucune notion de marketing, de gestion, de web… Vous allez devoir passer quelques semaines avant d’être opérationnelle.

A quoi bon si le sujet ne vous intéresse que moyennement et/ou que vous avez la possibilité de rémunérer quelqu’un qui fera le travail bien plus vite et probablement mieux ? C’est autant d’argent (via les ventes) que vous gagnerez plus rapidement, sans vous lasser ni vous fatiguer inutilement.
Si vous n’avez vraiment pas d’argent pour déléguer… C’est probablement que vous avez investi trop d’argent dans l’achat de votre business par rapport à ce que je vous ai conseillé en début de conférence (25 à 33% max de votre budget).
Ma réponse vous suffit-elle ?

– Hm… c’est à moi de faire le choix donc…

– Exact ! Je peux vous donner les grandes lignes, mais ça sera toujours à vous de choisir les stratégies qui vous correspondent le mieux. Évidemment que des génies du marketing vont très bien réussir en gérant tout eux-même, et qu’une personne lambda peut également très bien réussir sans déléguer.

Le chemin sera juste infiniment plus long et incertain !
Sauf que… plus on met de temps à performer et faire de jolis chiffres, plus on a le risque de se décourager, et donc d’échouer/mettre la clé sous la porte. Donc si vous avez les moyens de vous éviter un tel sort : ne vous en privez pas ! Oui Monsieur ?

– Bonjour ! Comment trouver un business sain et qui puisse être rentable ?

– Je comprends votre inquiétude : trouver un bon business va conditionner 80 à 90% de la réussite de toute votre opération. Pour mieux comprendre, on peut faire un parallèle avec l’immobilier : même avec d’excellents artisans et des acheteurs très sympathiques… si à la base votre bien était en zone inondable, bruyant et infesté de nuisibles, vous aurez du mal à faire une plus-value à la revente (même en ayant fait plein de travaux, mais dans tous les cas si vous investissez pour des travaux la culbute possible diminue d’autant).

(Il est adorable en gif, pas quand il galope dans votre plafond la nuit)

Il y a 9 critères pour savoir si un business est bon et sain, dans l’absolu. Je précise, car en plus de ça il faudra analyser s’il est bon pour VOUS, par rapport à votre profil, vos objectifs… vos intentions. Je vous en donne quelques-uns rapidement : il faut par exemple qu’il ait entre 6 et 24 mois, qu’il soit gérable par une personne, dans une thématique qui vous plaise, pas dans l’infopreneuriat ni la prestation de services… C’est un vrai sujet à part entière, de trouver chaussure à son pied !

Du coup je ne peux pas y répondre de manière exhaustive pendant cette conférence car le temps nous est compté, mais des professionnels pourront évidemment vous accompagner dans ce choix, voire vous proposer des business clé-en-main sélectionnés sur mesure selon vos intentions et votre profil ! Je sais que Bertrand a un sacré réseau qui lui permet d’avoir des offres intéressantes très régulièrement par exemple. Oui Madame ?

– Bonjour ! Je pense avoir compris la théorie pour trouver un business mais concrètement, où on en trouve ?

– Effectivement c’est une question épineuse. Tout comme 70% des offres d’emploi n’apparaissent nul part (et se traitent en interne ou via le réseau), une immense partie des business en vente n’apparaissent pas. En vérité, la plupart des des gens sur le point d’abandonner leur projet ne se rendent même pas compte qu’ils pourraient le vendre plutôt que de l’arrêter sans compensation (c’est en grande partie dû à l’amateurisation du Business en France). Donc vous pouvez en trouver en fouinant sur internet et en contactant des entrepreneurs en bout de course par exemple.

Mais une manière beaucoup plus simple, sure et rapide serait de sous traiter cette étape (soit à des personnes comme Bertrand, soit carrément à des prestataires proposant des business clé-en-main, ce qui implique un surcout évidemment).

Il y a aussi des sites spécialisés mais je ne vous cache pas que les business y sont souvent sur évalués, ce qui fait qu’on a tendance à y passer beaucoup de temps et enchainer les RDV pour trouver une bonne affaire. Le souci en tapant « où acheter un business » sur google, c’est que non seulement l’offre n’est pas complète (tous les gens qui ne savent même pas qu’ils peuvent vendre leur affaire ne vont pas communiquer dans ce sens) mais en plus il y a un souci systémique : si la personne met son business en vente c’est qu’elle s’y connait un minimum. Du coup, elle va le « pimper », l’embellir, ce qui va gonfler son prix. Alors évidemment c’est très bien d’avoir un business qui fonctionne, qui fait des chiffres, qui roule sans fausse note : mais ça coûte plus cher ! Et du coup, c’est plus sécure mais potentiellement mois rentable.

Il faut savoir chercher la bonne affaire rapidement tout en restant aligné avec ses intentions : sinon on risque de ne jamais passer à l’achat car le processus est trop long OU de faire un choix inadapté à nos projets et notre profil. L’autre chose appréciable, c’est que plus on cherche un business et plus on dit autour de nous qu’on en cherche, plus on va nous en proposer (via le bouche à oreille). Par exemple, Bertrand a racheté récemment 2 entreprises à une personne à qui il en avait déjà une par le passé.
D’autres remarques ou question ?

– Oui, j’aimerais bien avoir d’autres chiffres, un exemple concret actuel et pas un cas « super sexy  » comme celui que vous nous avez présenté tout à l’heure.

– Entendu, dans ce cas je laisse la parole à Bertrand qui a eu la délicatesse de nous rejoindre aujourd’hui pour parler chiffres, moulaga, pèze et compagnie.

Et avant de vous quitter n’oubliez pas quel que soit vos préférences, votre budget et votre planning : partez toujours d’une intention fondamentale claire, demandez vous sérieusement ce qui vous anime !

Car vous aurez beau être entouré.e des meilleurs experts, si vous ne partez pas du bon côté… vous finirez toujours dans le fossé (on dirait un slogan du ministère de la santé non ?).

 

Maintenant que tu as eu un aperçu du budget, du temps et des compétences nécessaires pour flipper des business, tu te dis peut-être que c’est TON moment ? Si c’est le cas et que tu veux en savoir plus et/ou te faire accompagner, tu peux évidemment rester pour l’interview de Bertrand, ou t’inscrire juste ici !

C’était Nadège, en direct du Business Flipping Club

Ce qu'il faut retenir :

  • La plupart des business qu'on juge intéressants se situent entre 5 000 et 40 000€
  • Pour un premier achat, on te conseille de ne pas investir plus d'un tiers de tes économies prévues pour des investissements
  • En achetant un business qui tourne déjà, une fois les prestataires trouvés, on parle de business passifs
  • Il vaut mieux avoir de la curiosité pour le marketing, ou beaucoup d'argent (et de lâcher prise) pour tout déléguer
  • Les culbutes atteignables vont de x10 à... énormément ! Bertrand fait une culbute à x50 avec un de ses business actuel
  • Qui dit DATAs dit prédictibilité... et donc sécurité
  • Il y a 9 critères pour savoir si un business est bon et sain dans l'absolu, mais le plus important est de savoir s'il est adapté à nos besoins personnels (et c'est plus simple de confier cette analyse à un expert)
  • On peut trouver des bizz à acheter sur des sites spécialisés, en contactant directement des entrepreneurs ou on peut déléguer cette recherche
  • Il faut toujours partir d'une intention fondamentale claire, se questionner sérieusement sur ce qui nous anime

MARRE DE LIRE DU BLA-BLA (certes, passionnant) ET ENVIE DE CONCRET ?

Bonne nouvelle, tu es prêt.e à récupérer...

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