Ce que tu découvriras dans cet article :
- Les origines du Business Flipping
- Sa définition (mieux que sur Chat GPT)
- Le concept d'amateurisation du Business (et ses conséquences pour nous)
- Ce que ce n'est pas
- Ce que c'est pour de vrai
Avant d’espérer devenir millionnaire avec le Business Flipping, ça serait pas mal de savoir ce que c’est non ? Sinon quand tes potes te demanderont comment tu as fait ton premier million, tu risques d'avoir l'air un peu...
Pour découvrir et comprendre le Business Flipping, tu peux soit assister à ce cours d'initiation, soit t'inscrire ci dessous !
MARRE DE LIRE DU BLA-BLA (certes, passionnant) ET ENVIE DE CONCRET ?
Bonne nouvelle, tu es prêt.e à récupérer...
– Bonjour à toutes et à tous ! Vous pouvez sortir vos cahiers, aujourd’hui on va étudier… Le Business Flipping !
…
Oui Jérome ?
– Qu’est-ce que c’est le biznesse flippin’ ?
– Ah ben c’est bien de te réveiller, on va justement en parler.
Origines
– Le concept de Business Flipping dérive du « House Flipping« . En français on pourrait traduire ça par… « achat-revente de logement en se faisant une jolie plus-value ».
– Mais Madame, c’est quoi la différence avec les gens qui gagnent leur vie dans l’immobilier ?
– Les gens qui sont loueurs de bien, c’est leur métier : ils y passent potentiellement (beaucoup) de temps, et en tout cas y ont investi de l’énergie et de l’argent. Là l’idée est différente : on veut la culbute, pas le boulot !
– Une culbute comme… ?
– Non Jules, pas ce genre de culbute. Une culbute financière, c’est-à-dire une grosse plus-value ! On parle aussi de « coefficient multiplicateur » fort à la revente.
– D’accord, mais c’est quoi le rapport avec les maisons Madame?
– Aucun.
Définition
– Là, on veut « flipper » des business, des « boîtes », pas des maisons.
Le Business Flipping c’est le fait d’ACHETER un business (sous-évalué et/ou sous performant), de le BOOSTER, puis de le REVENDRE plus cher (en faisant une belle culbute !)
Amateurisation du Business
– Madame, et pourquoi on peut acheter des bizness sous évalués ou sous performants ?
– Alors ça c’est une EXCELLENTE question. En fait, avant c’était assez complexe et engageant de se mettre à son compte, de lancer son entreprise… Mais 3 évènements ont amorcé une amateurisation du business en France :
* La loi Breton de 2005 a supprimé le besoin d’un capital social de 7 500 euros (50 000 F à l’époque) pour créer une société
* En 2009, le statut d’auto entrepreneur a permis de se mettre à son compte en quelques clics
* Et depuis, l’essor du net permet à n’importe qui de lancer un business… depuis son canapé (ou son tapis de yoga positionné sur un tapis lui-même devant son canapé).
(Mauricette en train de créer sa boîte)
Sur le papier ? C’est le rêve, la liberté, l’accès à la richesse pour tous…
Dans les faits ? 92% des business qui sont lancés sur le web s’écroulent chaque année.
En gros ? Il y a plus d’appelés que d’élus, et pas mal de projets avortés sur le bord de la route (qui n’attendent qu’à être ramassés – rachetés).
– Mais Madame c’est horrible ! Les bizness flippers c’est des charognards ?!
– Alors… Oui et non. Oui, ce sont des charognards (dans le sens le plus noble du terme), et non ce n’est pas horrible ! Tu sais, in fine les charognards nettoient la nature et empêchent les maladies de se propager. Eh bien dans le business, c’est pareil ! En rachetant un business abandonné, ils permettent tout simplement au créateur ou à la créatrice de clore un chapitre de sa vie tout en étant dédommagé.e pour son investissement. Je trouve ça plutôt beau, pas vous ?
Ce que ce n’est pas
– Moui… Mais Madame, c’est quoi la différence avec les gens qui reprennent des business et qui les revendent quelques temps plus tard ?
– Eh bien dans le repreunariat (c’est le terme pour ce que tu me décris), les gens deviennent chef d’entreprise. C’est un peu comme devenir loueur de bien, c’est un métier ! Alors que dans le business flipping, on veut juste faire ce qu’il faut pour vendre le mieux possible (faire la meilleure culbute), et pas du tout y passer du temps.
– Oui mais il va bien falloir s’en occuper un peu quand même non ? Autant investir en bourse ou en cryptos si on ne veut vraiment rien gérer Madame.
– Alors je te rejoins sur un point : juste après l’achat du business, il faut s’imprégner des process’ et trouver à qui déléguer. Mais une fois cette étape passée, on parle de business passif (moins de 30 min de gestion mensuelle). Et concernant la bourse et les cryptos…
– Madame, mon papa il dit que c’est nul la bourse parce que depuis la guerre en Ukraine il a tout perdu !
– Alors… Effectivement des gens y ont laissé des plumes (mais pas ceux qui ont investi dans l’armement je suppose). Je pense que la bourse est un excellent levier financier, MAIS comme tout outil il va correspondre à des profils et pas à d’autres. Comme tu l’as souligné, il y a un RÉEL risque à investir en bourse. Vous vous rappelez de Bertrand ? Oui, mon boss. Il a perdu 2 millions d’euros en bourse suite à la guerre par exemple. Eh bien il est bien content d’y avoir mis de l’argent dont il n’avait pas « besoin » pour vivre.
– 2 millions ?! Mais il est milliardaire ?!
(Le lit de Bertrand dans l’imaginaire collectif)
– Pas du tout. Mais il avait des économies à placer quelque part (car laisser l’argent en banque c’est la meilleure idée pour en perdre, à cause l’inflation VS les faibles taux de rendements des livrets), et il s’est dit « ah ben pourquoi pas la bourse tiens ». Peut-être qu’il a tout misé comme au poker au lieu d’investir dans des ETF fiables hein (ça m’étonnerait pas trop de lui) mais le fait est : la bourse, on peut y faire de très jolies affaires, mais il faut avoir un peu de cash « non essentiel » à y placer, du temps devant soi pour retirer ses gains, et peu d’aversion au risque.
– Mais Madame, et les cryptos ? Mon tonton René il a vachement bien gagné avec il m’a dit !
– Ah les crypto monnaies… Tu n’as pas dû parler à tonton René depuis septembre 2022 toi ! En fait c’est un peu le même topo : mieux vaut y investir de l’argent qui ne vous est pas vital, et avoir un profil joueur ! Je ne sais pas si vous avez entendu de la récente chute libre des cryptos fin 2022 mais… pas mal d’investisseurs y ont laissé bien plus que des plumes, et les échanges avait déjà chuté de 97% entre janvier et septembre 2022. Donc à la rigueur, j’aurais tendance à dire que pour investir dans les cryptos, il faut une réelle absence d’enjeux vitaux ET d’aversion au risque.
Ce que c’est
– Mais Madame, alors si tout est risqué ou prend trop de temps, comment le bizness flippin’ il fait pour être mieux ?
– Alors je t’arrête tout de suite : le Business Flipping n’est pas « mieux », disons qu’il correspond à d’autres profils d’investisseurs ! Il y a 4 composantes qui le rendent unique, mais qui prises individuellement peuvent rappeler d’autres produits d’investissement. Déjà, c’est accessible financièrement : il y a des business à TOUS les prix !
– Mais Madame, la bourse et les cryptos aussi c’est accessible, on peut investir ce qu’on veut non ?
– Exact ! Mais comme je viens de l’énoncer, c’est en additionnant toutes les caractéristiques du Business Flipping que vous verrez en quoi il est unique. Le second point, et vous allez vite comprendre pourquoi j’ai dit ça, c’est que c’est une façon fiable d’investir.
– Ah oui, alors que la bourse pas trop.
– En fait, la bourse peut avoir un risque relativement bas : si vous investissez dans des ETF (on appelle ça aussi des trackers, ça investit votre argent dans plein d’entreprises super badass), et que vous ne retirez pas à la moindre baisse du marché, vous pouvez observer que le CAC 40 est en hausse constante si on lisse la courbe.
(‘faut juste faire abstraction des quelques gouffres quoi)
Sauf que non seulement c’est un processus extrêmement LENT, mais en plus il faut un sacré sang froid pour ne pas tout retirer à la moindre baisse. Et ça… tout le monde ne l’a pas.
– Et comment le bizness flippin’ il fait pour être plus sécure ?
– En fait, quand vous achetez un business, vous achetez aussi toutes les données récoltées pendant le temps de vie de ce business. En clair, ça veut dire que vous allez pouvoir prédire très précisément les résultats de votre boîte, ainsi que son prix de revente.
– Mais comment on peut prévoir ça ? On n’est pas Madame Irma !
– Très juste. Mais il y a des professionnels qui font ça depuis des années et qui peuvent le faire pour vous heureusement..
EN PARLANT DE PROFESSIONNEL, JE ME FERAIS BIEN ACCOMPAGNER...
Par exemple par Bertrand !
Et si vous êtes curieux, vous pouvez évidemment vous y intéresser pour le faire vous-même. Globalement dans tous les processus d’investissement, soit vous avez beaucoup d’argent et vous pouvez déléguer/ne pas y investir de temps, soit vous avez peu d’argent (ou envie de tout gérer) et vous pouvez y arriver moyennant beaucoup d’énergie, de temps et potentiellement des pertes d’argent (car quand on teste… on échoue parfois).
– Mmmokay… Mais ça doit bien arriver que ça ne marche pas un bizness non ?
– Tout à fait, certains business ne « redécollent » pas. Le truc, c’est que l’investissement pour ce genre de business est souvent faible. Repensez à ce que je viens de vous dire : si vous avez peu d’argent, il va falloir vous remonter les manches, exactement comme dans l’immobilier si l’image vous parle plus.
En fait, si vous achetez un business « d’entrée de gamme » (à moins de 5 000€ par exemple) il y aura probablement un peu de boulot à fournir au début pour le remettre sur les rails, et il sera sûrement plus « vert » que d’autres boîtes plus onéreuses, donc un peu moins prévisible/fiable.
Mais si vous l’achetez plus « cher » (au-dessus de 8 000-10 000 €), il y a fort à parier que vous ayez juste à rentrer vos coordonnées bancaires pour encaisser vos premières ventes le jour-même.
Dans tous les cas, vous conviendrez du fait que ce sont des sommes bien inférieures à l’immobilier, même d’entrée de gamme (je sais, on peut faire des prêts : mais ça reste de l’argent dû, un jour ou l’autre). Le « risque » financier est donc faible – sauf si vous n’avez plus un seul € de côté évidemment – mais ça on ne saurait le conseiller, quel que soit le mode d’investissement.
– Et si on se trompe et qu’on achète un bizness nul qui fait pas de vente du tout et qu’on se fait avoir car en fait il vaut pas du tout le prix auquel on l’a eu ?
(Hubert a acheté le business d’une certaine Mauricette sans prendre le temps d’analyser les DATA : dommage)
– Eh bien là c’est effectivement dommage ! Mais si ce scénario arrive c’est peut-être que tu te serais lancé un peu vite/sans connaissance/sans te faire accompagner – ce qu’on ne recommande pas non plus. Il y a plein de critères pour savoir si un business va fonctionner et pour évaluer son prix d’achat, mais… c’est un autre sujet. Un autre point spécifique (souvent fort apprécié par les entrepreneurs en herbe) c’est que le Business Flipping donne des résultats rapides. C’est notable, car que ce soit dans la bourse ou encore plus dans l’immobilier, c’est loin d’être le cas.
– Mais c’est rapide comment ?
– Parfois le jour même pour des business déjà opérationnels, et lors du premier mois même pour des business d’entrée de gamme. Peut-être que vous vous dites que c’est anecdotique, mais dites-vous bien que lorsqu’on crée son propre business, il s’écoule généralement des MOIS avant la première vente (si tant est que ça arrive un jour). Et qui résultats lents dit démotivation et… échec. Comme on n’a aucun repère quand on lance son bizz, on ne sait jamais si on est sur le bon chemin ou pas !
Si les premiers résultats n’arrivent pas vite, soit ça arrivera un jour (mais du coup on se dit que ça n’arrivera pas et on arrête), soit ça n’arrivera pas (mais de toute façon on l’ignore et on se démotive aussi). Du coup ce qu’une telle rapidité de gains provoque… c’est la réussite !
– Donc c’est pas cher, fiable et rapide ?
– En résumé oui. Mais pas de raccourcis binaires. Disons qu’il est possible d’investir peu mais de faire une très jolie culbute, que le risque est très contenu (voire nul si on se fait bien entourer) et que la durée moyenne d’exploitation avant revente est de 1 à 3 ans (ce qui en fait un produit d’investissement rapide car on PEUT revendre avant un an et se faire quand même une belle plus-value + les bénéfices accumulés pendant l’exploitation). Mais tout ça n’aurait pas tant d’intérêt si ce n’était pas également très rentable.
– Rentable comment ?
(Jean René après avoir fait une belle culbute)
– Rentable beaucoup. On parle de culbutes pouvant aller de x10 à… x1000 ! Il ne faut pas oublier qu’on achète à des amateurs, donc moins cher que la valeur réelle du business au moment de l’achat. Il est possible d’acheter des boîtes à – de 1000€ et de faire une culbute x10 le jour même par exemple. Et ça me fait penser au dernier business qu’on a acheté et qui a fait une jolie culbute x50. Si tu veux lire l’étude de cas complète, tu peux cliquer là. Je suis curieuse de voir de tels chiffres en immobilier ou en bourse avec un si faible risque.
– Mais pour avoir de tels résultats, il faut y passer plein de temps non ?
– On ne peut pas vraiment dire ça non ! Pour le business donc je parle, Bertrand passe 30 min par mois à « gérer » ce business (en clair : à papoter avec la personne qui le gère pour lui), ce qui en fait un business franchement passif. Alors évidemment il y a passé quelques heures au lancement pour être sûr que tout était nickel, mais il a fait ses premières ventes en 2 jours (donc il n’a pas passé mille plombes à réinventer la roue non plus).
– Mais Bertrand il est pro là-dedans lui, non ? Si moi j’y connais rien ?
– C’est vrai, Bertrand fait ça depuis des années donc il a de l’expérience. Mais si tu as peur que ce ne soit pas pour toi, tu peux cliquer ici : on a fait une conférence de presse sur le Business Flipping il y a quelques jours, et beaucoup de gens se demandaient si c’était un mode d’investissement adapté à leurs profils. Tu peux aussi lire cet article très bien documenté, où quelques grands noms du milieu témoignent. Vous avez d’autres questions ?
– Mais vous, vous investissez dans quoi du coup ?
– Moi ? À vrai dire je ne m’y étais pas trop intéressée jusqu’à ce que je rencontre Bertrand, principalement car je ne roulais pas sur l’or. J’avais juste une assurance vie pas super fournie qui investissait en partie sur des ETF assez safe (et donc pas ultra rentables). Je n’ai pas de problème avec le risque, mais comme je n’ai pas non plus beaucoup d’économies « non nécessaires » à investir ça limite franchement les folies. Mais depuis qu’il m’a parlé du Business Flipping et que je vois comment il vit ? Je n’ai plus qu’une idée en tête : acheter mon premier business.
– Merci Madame, on va faire pareil alors !
– … N’hésitez pas à cerner votre profil et vos intentions fondamentales déjà ! Si vous ne savez pas ce que c’est… je ne peux que vous recommander chaudement de le découvrir. Mais si vous êtes convaincus, c’est peut-être le premier pas vers votre réussite… et votre liberté financière.
Bonne journée à toutes et à tous, prenez bien soin de vous et à demain pour un cours sur les cryptos !
…
Non je déconne.
Voilà, j’espère que ce cours d’initiation a pu répondre à tes questions essentielles ! Si tu es arrivé.e là et que tu as kiffé, déjà chapeau bas, et ensuite… j’imagine que tu voudras aller plus loin ? Dans ce cas, tu peux évidemment accéder au cours avancé, mais surtout… t’inscrire juste ici !
C’était Nadège, en direct du Business Flipping Club
Ce qu'il faut retenir :
- Le Business Flipping dérive du House Flipping, et signifie "acheter un business sous évalué et/ou sous performant, le booster et le revendre un business en faisant une jolie plus value."
- Ces business proviennent en majorité des nombreux échecs entrepreneuriaux, accentués par l'amateurisation du business.
- Ce que ce n'est pas : du repreneuriat, un levier d'investissement chronophage, ultra complexe ou réservé aux riches
- Ce que c'est : un levier accessible financièrement, prédictible (et donc fiable si choisi avec soin), potentiellement passif si vous voulez/pouvez déléguer, rapide (par rapport à la bourse ou l'immo par exemple) et potentiellement simple (en tout cas il y en a à tous les niveaux de complexité, y compris pour les noobs)