Bon les bases c’était bien sympa mais ça ne nous dit pas si ça marche vraiment, si c’est rentable, risqué, rapide… Tu veux du concret ? Eh bien pour approfondir ta compréhension du Business Flipping et devenir un pro, tu peux soit assister à ce cours avancé, soit t’inscrire ci dessous !

*brouhaha*

– Bonjour à toutes et à tous !

*brouhaha tout pareil*

– Ahemhemhem !

*dédain total*

– Aujourd’hui, je vais vous raconter comment vous en mettre plein les poches rapidement et sans risque.

*silence religieux*

– Quelqu’un a une idée de ce dont on va parler ?

– … L’immobilier ?

– On a déjà vu un poil plus rapide.

– La bourse ?

– Idem, et j’ai quelques exemples (oups, une TONNE d’exemples) de personnes qui trouvent ça un poil risqué.

– Les cryptos ?

– … Vous vous foutez de ma gueule, c’est ça ?

– Non, sinon on vous aurait dit les NFT.

– … Un point pour vous.
Bon, peut-être que mon énoncé était un poil putaclic, mais en même temps vu le boxon que vous faisiez je n’avais pas d’autre choix.
Reprenons.
Aujourd’hui on va parler d’un moyen d’investir rapidement, de manière super accessible financièrement, avec un risque très bas et un niveau de rentabilité bon à excellent(issime). Ça vous parle un peu plus ?

– …

– Je parle évidemment…

*roulement de tambour imaginaire*

…du Business Flipping ! (tout ressemblance avec l’adresse de ce site est purement fortuite).

 

– Oh c’est bon on a en a déjà parlé en long en large et en travers l’autre coup, on connait !

– Ah oui, on avait parlé des bases. Mais après le cours, des dizaines d’élèves m’ont contactée en me disant qu’ils voulaient des chiffres, des cas concrets, des témoignages… Bref, j’ai bien compris qu’il ne fallait pas vous conter Fleurette, et je m’excuse si vous avez eu l’impression que j’éludais des données : j’ai juste envie que votre cerveau ne surchauffe pas avec tous ces nouveaux concepts.
Mais reprenons, puisque vous avez l’air tout frais : en quoi le Business Flipping est-il LA meilleure façon de devenir entrepreneur ET investisseur selon vous?

– Parce que c’est accessible à tout le monde ?

– Oui, tout à fait ! Comme on l’avait vu, un des gros avantages du Business Flipping (appelons le BF pour le reste du cours voulez-vous ?) c’est que non seulement on peut investir même avec 500€, mais en plus il n’y a pas forcément besoin d’avoir étudié le marché/business avant.

– Oui enfin à 500€ vous allez acheter quoi ? Une boîte qui a 2 mois ? A ce prix ça risque d’être un business tout pourri non ?

– Alors effectivement à 500€ ça ne sera pas une Ferrari du bizz. Mais quel risque est lié à un investissement aussi faible ? Je veux dire à moins que ce soit votre CA annuel et que vous n’ayez aucune autre économie (auquel cas n’investissez pas cette somme nom d’une pipe !), ce n’est probablement même pas le prix de votre portable. Et si vous avez un peu de talent (ou que vous savez bien vous entourer), vous POUVEZ revendre cette boîte pour 10, 100, 1000 fois son prix initial.
Autre donnée à prendre en compte : je vous rappelle qu’en BF, on achète des business sous évalués et/ou sous performants à des amateurs. Du coup votre boîte vaut très probablement bien plus que 500€, car elle a déjà eu des résultats (comme seulement 8% des business qui sont lancés chaque année !). Si elle n’en n’a jamais eu, c’est peut-être que vous vous êtes planté lors de l’analyse préachat ou que vous vous êtes lancé un peu trop vite…

– Ok pour l’argent, mais… il faut bien des compétences pour se lancer non ?

– Tout dépend du temps et de l’argent que vous avez et de l’investissement que vous souhaitez fournir. En gros si vous achetez un business à plus de 5 000€ et/ou que vous ne voulez pas y passer beaucoup de temps, il faut surtout être organisé et savoir déléguer.
En revanche si vous avez un petit apport et/ou que vous voulez mettre la main à la pâte, il vous sera utile de connaître un peu/d’apprendre à utiliser wordpress, les publicités FB… et d’avoir un certain attrait pour la gestion et le marketing ! Mais rien d’insurmontable, et ce sont des compétences utiles dans d’autres domaines. D’autres choses qui rendent le BF sexy ?

  

(ton cerveau quand tu penses au côté sexy du BF)

– … C’est rapide ?

– Exact ! En immobilier (et particulièrement en France) il y a un temps incompressible de recherches, d’accords de prêts, d’accords de vente, de travaux… Impossible d’espérer récolter ses radis en quelques mois ! En bourse, c’est plus variable mais si on veut espérer une méthode pas trop risquée, il va falloir être ULTRA patient avant de retirer ses pions.
Avec les cryptos ou les NFT la volatilité rend les gains (et les pertes) potentiellement ultra rapides, mais au détriment d’un risque beaucoup plus élevé.
En BF, vous pouvez encaisser vos premières ventes le jour même si votre business est opérationnel à l’achat, et dans le premier mois pour l’immense majorité des business.
Comme vous le voyez, à chaque profil d’investisseur sa solution ! Mais il est difficile de coupler sécurité, accessibilité, rapidité et rendement. Ce qui nous amène d’ailleurs au point suivant qui est…

– Le rendement ?

– Je vois que ça suit ! Selon les données de la Small Business Administration le taux de rendement moyen sur un investissement en BF est de 30 à 50 %. C’est considérablement plus élevé que les taux de rendement que l’on peut obtenir en bourse par exemple (7 à 8% pour le marché américain sur du long terme). Et dans la pratique, on constate des bascules de x10 à… x1000 !

– Donc c’est accessible, rapide et rentable… mais comment ça peut être sécure et fiable dans ce cas ? Le risque n’est pas corrélé au rendement ?

– Excellente question ! Effectivement en général dans l’investissement, le risque est corrélé au rendement. Mais il y a une donnée à prendre en compte ici. Si on s’y prend bien, on achète des business sous évalués à des amateurs. Donc on achète un business bien moins cher que sa valeur réelle !

En immobilier, même si le vendeur se fait « un peu avoir par ignorance », il ne vendra jamais son bien le millième de son prix sauf situation exceptionnelle. Du coup, même en y passant peu de temps vous pouvez tout à fait envisager une culbute financière supérieure à x10 à la revente en BF, le tout avec un investissement initial (et donc un risque) minime.
Evidemment, si vous achetez un business à plus de 100 000€ sans vous faire conseiller alors que vous avez peu de moyens, le risque est clairement élevé : mais là on parle de gens un peu décérébrés, et d’ailleurs le risque serait probablement bien supérieur en bourse ou partout ailleurs dans cette situation.
L’autre argument qui rend le BF très sécure, c’est que les business que vous allez acheter auront non seulement réussi là où 92% des autres boîtes auront échoué (ils auront eu des résultats, des gains), mais auront également accumulé des données pendant des mois, voire des années !
Et qui dit prédictibilité dit… sécurité.

(ton cerveau quand on lui dit que c’est safe)

– OK on a bien compris que la bourse, l’immo’ et les cryptos c’était soit plus cher, plus lent ou plus risqué. Mais alors pourquoi on ne créerait pas tout simplement notre propre business ?

– Tu as raison, entreprendre semble une belle alternative pour gagner gros.
Le truc ? C’est que lancer un business demande énormément de temps (que vous ne passerez pas à faire d’autres choses pour vous développer), des compétences, de l’argent (pour payer les logiciels, les formations, le domaine… 5 à 10 000€ pour quelqu’un de débrouillard, le double voire le triple si vous avez besoin de vous faire coacher), le tout sans AUCUNE certitude de faire des ventes, et encore mois d’en vivre !
Eh oui, 92% des boîtes échouent tous les ans, vous vous souvenez ?
En plus de ça, là où vous seriez dans le brouillard le plus total en lançant votre bizz, vous saurez exactement prévoir vos résultats en achetant un business qui a déjà fait ses preuves. Toujours l’intérêt de la prédictibilité.
Evidemment on a tous entendus d’incroyables success stories, des gens richissimes grâce à leur entreprise ! Mais il y a surtout beaucoup d’appelés et peu d’élus… Et on n’a pas tous la discipline, l’ambition et le cerveau d’Elon Musk.

– C’est sûr… Après c’est bien beau toutes ces affirmations, mais vous n’auriez pas quelques exemples sous le coude ?

*tire une liasse de feuilles de sous son coude*

– Oh des exemples de résultats, quel hasard incroyable !
Alors vous vous souvenez probablement de Bertrand Millet ? Oui, mon boss. Il a donc acheté et revendu un paquet de business, mais j’aimerais vous parler d’un de ses business « moyen ».Ce business, c’est une boutique e-commerce de produits pour la maison :
* Il l’a acheté en 2021 à 8500€
* Il a fait ses premières ventes au bout de 2 jours
* Il était rentable au bout de 4 mois
* Il générait 7000€ de bénéfices mensuels au bout de 8 mois
* Aujourd’hui, c’est 12000€ de bénéfices mensuels
* La vente est estimée à fin 2023, pour un coût compris entre 200 000 et 250 000€.
Ce qui fait un bénéfice total (plus-value de vente + bénéfices d’exploitation)  de 420 000€ (un coefficient multiplicateur de 50 !!)  en 22 mois, et en y passant en moyenne 30 minutes mensuelles.
Le tout sans risque majeur (sauf s’il y a une crise économique et/ou politique mondiale de folie en gros). Quelque chose à rajouter ?

– Euh… Vous auriez peut-être d’autres exemples de gens qui prouvent l’intérêt du BF ?

– Bien sûr ! Je peux vous parler d’Enzo Honoré par exemple (un e-commerçant et formateur en e-commerce) qui propose deux offres : une formation en e-commerce simple OU le rachat d’une de ses boutiques déjà montées (via sa méthode). Le résultat est sans appel : là où les personnes qui suivent juste la formation ont des taux de réussites normaux (donc, moins de 15%), ceux qui prennent des boutiques déjà en place réussissent TOUS (100% donc, pour les non matheux du fond).
Et accessoirement… il a réalisé qu’il encaissait plus à la revente que durant la période d’exploitation de ses e-commerces !

Je peux aussi vous parler de Sébastien Cerise, un ancien e-commerçant et formateur en e-commerce qui, après avoir fait beaucoup d’argent, s’est lancé dans le rachat d’entreprises (et forme à présent à ses méthodes), en concluant que c’est de loin un bien meilleur investissement que toutes les autres options “concurrentes”.

– Et… il y a aussi des femmes qui osent se lancer ?

– Heureusement ! Je peux vous parler d’Isabelle Nguyen, une ancienne e-commerçante qui est devenue brokeuse de business en ligne. Pour rappelle on appelle ça « courtière » par ici, c’est une intermédiaire entre un acheteur et un vendeur. Des témoignages vidéo de particuliers qui ont racheté des business et qui vivent leur meilleure vie, il y en a en pagaille sur sa page instagram par exemple.

– OK donc c’est réellement une meilleure alternative que la bourse, l’immo et cie ?

– Hm, pas de conclusion binaire. Evidemment, des personnes ont gagné des millions en bourse. Mais… d’autres en ont perdu, des millions. La bourse, ça reste un investissement (lent et) risqué, il y a une forme de volatilité selon vos investissements, et il faut beaucoup de sang froid pour ne pas tout retirer au moindre problème. Bertrand a perdu plus de 2 millions suite à la guerre en Ukraine par exemple (alors qu’il a bien investi dans des ETF safe en fin de compte, j’ai été médisante dans mon dernier cours). Chose impensable en BF si vous vous faites correctement accompagner. Et dans tous les cas, à moins d’un « coup de bol », vous ne pourrez pas faire un gros coup et partir du jour au lendemain en bourse. Les processus prennent du temps…

– Pas de binarité, pas de binarité… Vous nous dites quand même depuis tout à l’heure que c’est accessible, rapide, sécure et rentable quoi. Qui n’a pas envie de ça ?

– Par exemple tous les gens qui préfèrent les processus lents, qui veulent toucher des murs en pierre et bricoler leurs parquets flottants… Il y a plein de raisons de vouloir investir dans des choses plus palpables ! Et puis, si vous héritez d’une maison, peut-être aurez-vous envie de la retaper pour la louer ? Là où d’autres la revendraient directement et s’achèteraient un business en ligne. Les joueurs prendront plus de plaisir dans les cryptos ou les NFT j’imagine. En fait, je n’ai aucune intention de vous dire quoi faire. Juste, je voulais vous faire découvrir le BF. Pour que vous ayez VRAIMENT le choix si vous souhaitez investir, financer vos projets, et qui sait, devenir libre financièrement… D’autres questions ?

– On fait comment pour acheter son premier bizness ?

(la vraie demande derrière ta question)

– Très bonne question ! Et d’ailleurs, c’est un sujet d’autant plus important que le fait de trouver un BON business à acheter va conditionner 80 à 90% de la réussite de toute l’opération ! Pour mieux comprendre, on peut faire un parallèle avec l’immobilier. Vous aurez beau avoir les meilleurs artisans, les meilleurs racheteurs… si à la base votre bien était infesté de nuisibles, en zone inondable et à côté d’une future boîte de nuit, eh bien… ça va être compliqué de faire une plus-value de folie à la revente. Du coup, si vous vous plantez à l’achat ? Vous risquez non seulement de ne pas être très rentables, d’avoir des difficultés à la revente, de perdre le contrôle/ne pas maitriser, voire de vous dégoûter du business…

– OK OK, c’est clair que c’est pas le plan ! Mais du coup il y a des critères précis ?

– 9 exactement. 9 critères pour savoir si un business est bon et sain, dans l’absolu. Je précise, car en plus de ça il faudra analyser s’il est bon pour VOUS, par rapport à votre profil, vos objectifs… vos intentions. Je vous en donne quelques-uns rapidement car ce n’est pas le sujet du cours, mais il faut par exemple qu’il ait entre 6 et 24 mois, qu’il soit gérable par une personne, dans une thématique qui vous plaise, pas dans l’infopreneuriat ni la prestation de services… C’est un vrai sujet à part entière, de trouver chaussure à son pied !

– Et après, c’est difficile de l’améliorer et de le revendre ?

– Ça n’a rien de difficile, mais c’est mieux de savoir où vous allez pour pouvoir amener votre business à son plein potentiel (et éviter de perdre du temps et de l’argent).

– Mais du coup, on peut se lancer solo ? Ou il faut forcément passer par un courtier ?

– Nulle nécessité de passer par un intermédiaire ! Mais l’avantage de faire appel à un expert, c’est que l’argent investi dans sa sélection sera probablement inférieur à l’argent que vous pourriez perdre en choisissant un business peu qualitatif. Et je ne parle pas du temps économisé.

– Bon, ben… plus qu’à se lancer quoi.

– Je ne vous le fais pas dire.  Aller, bonne journée à toutes et à tous, prenez soin de vous et à demain pour la conférence de presse pour les plus curieux !

J’espère que ce cours d’avancé a pu répondre à tes questions les plus profondes ! Comme tu as pu le comprendre, le rendement et l’accessibilité du Business Flipping sont hors norme. Mais il est facile de se planter si on y va la fleur au fusil, comme pour tout levier d’investissement… Alors si tu veux en savoir plus et/ou te faire accompagner, tu peux évidemment t’inscrire juste ici !

C’était Nadège, en direct du Business Flipping Club