Que peut-on attendre du business flipping quand on débute ? Est-ce que ça permet de voyager ? Qui sont les business flippers ? Autant de questions auxquelles tu trouveras des réponses lors de cette journée portes ouvertes au Business Flipping Club (pour rencontrer des business flippers et voir si tu as le profil), ou en t’inscrivant ci-dessous !

*la porte automatique s’ouvre sur un hall rutilant*

– Bonjour jeune homme, vous venez pour la journée portes ouvertes ?

– O…oui c’est ça.

– Vous faites bien d’avoir pris le temps de passer nous voir ! Je vous débarrasse ?

– N… non ça ira, merci.

– Tenez, voici le plan du Business Flipping Club. Si vous voulez bien me suivre, nous allons débuter la visite par ici ! Comme vous pouvez le voir, nos adhérents ne sont pas encore tous levés : la plupart ont balancé leur réveil depuis belle lurette. Et puis un bon nombre est en voyage actuellement. Vous aussi vous aimez voyager ?

– Moui… Comme tout le monde non ?

– Certaines personnes sont bien chez elles et n’ont jamais trop eu l’occasion ou le courage de partir à l’aventure en vérité. Car voyager, c’est parfois (souvent ?) une aventure ! En tout cas, si vous aimez voyager c’est plutôt bon signe : pour faire du Business Flipping il faut un certain attrait pour l’aventure, pour le challenge.

– J… Je ne suis pas spécialement un aventurier non plus.

– Ah ah pas de souci, on peut rêver d’aventure sans être le sosie d’Indiana Jones ! En fait, vous rencontrerez deux grands types de personnes dans notre club : les VRAIS investisseurs, et les VRAIS entrepreneurs. Parfois il y a évidemment des profils hybrides, des « bilingues »… Mais toujours des aventuriers d’élite. On continue ?

– Je vous suis.

– Allons-y. On peut se tutoyer ?

– … D’accord.

– Super. Le Business Flipping Club, c’est un endroit prestigieux ET accessible. Le fait d’acheter des business a un impact fort dans les imaginaires collectifs, car les gens s’imaginent souvent qu’on rachète Shein ou Adidas en gros. Évidemment… ce n’est pas le cas, et c’est en fait un investissement ultra accessible financièrement puisqu’il existe des entreprises à TOUS les prix.

– Même à… 1000€ ?

– Oui, même à ce prix-là. Évidemment, tu trouveras des pépites un peu plus intéressantes et moins longues à mettre en route plutôt à partir de 5000€, mais quel que soit ton budget, tu peux trouver une opportunité d’investissement.

*un homme en costard traverse le hall d’un bon pas*

– Je croyais que les gens étaient plutôt type « aventuriers » ? Lui il a quand même l’air d’un cadre ou d’un banquier non ?

– C’est le costume qui te fait dire ça ? Effectivement, il a l’air on ne peut plus ennuyeux… Sauf qu’il gagne 12 000€ par mois grâce à ses business, en y consacrant en tout et pour tout 2h par mois. Il aime bien mettre des jolis costumes car il en mettait tout le temps dans son ancien métier. Mais autant te dire, là c’est juste pour frimer : il va probablement déjeuner en bonne compagnie.

(Jean Hubert est ready pour la bonne compagnie)

– Wow, autant d’argent en 2h par mois ? Ça sent l’arnaque cette histoire.

– Tu trouves que ça fait beaucoup ? Je connais des personnes qui gagnent 2, 3, 4 fois plus tous les mois grâce au Business Flipping. Ils ont parfois investi des sommes conséquentes avant cela, mais parfois ils ont surtout fait de jolies opérations et profitent tout simplement de l’opportunité qui leur est donnée.

– Et en quoi ce mec est un… aventurier ?

– Déjà parce qu’il a osé parier dans une forme assez méconnue d’investissement ! Et puis, il a su repérer une ou plusieurs pépites (ou il a su déléguer cette recherche). C’est sûr que ce n’est pas un entrepreneur, mais mine de rien, c’est un peu plus aventureux que d’investir un quart de son portefeuille en bourse, un quart dans l’or, un quart en crypto et un quart en immobilier, non ?

– Hm…

*un groupe de jeunes passe en parlant bruyamment*

– Et eux… ce sont aussi des investisseurs ?

– On peut dire que ce sont plutôt des entrepreneurs ! Ils ont récemment acheté un business à plusieurs, et devaient probablement discuter des meilleurs stratégies pour le booster et augmenter drastiquement sa valeur de revente. Je les connais, ce n’est pas du genre à glander en peignoir à côté d’une piscine à Bali… Ils adorent tester de nouvelles stratégies, interagir avec leurs équipes… Ce n’est clairement pas le genre à tout déléguer et à attendre que le cash rentre comme l’homme qu’on a croisé tout à l’heure.

– Mais… je vois pas trop l’intérêt d’y passer du temps si on peut tout déléguer ?

– Eh bien tout dépend quel sens tu mets dans ton activité : est-ce que tu veux que ce soit juste une rente passive, un placement smart, rentable et efficace au service de ta liberté financière ? Ou est-ce que tu veux te sentir acteur, agir pour ta boite, t’investir dans un projet qui fait sens pour toi, tester tes capacités de chef d’entreprise, faire du business avec passion ?

– Je crois que j’aimerais bien un peu des deux : faire quelque chose qui fait sens, mais ne pas y passer mes journées ni m’y perdre.

– Tu as raison, à force d’être trop passionné, on peut parfois s’y perdre, et être moins rationnel par rapport aux chiffres. C’est d’ailleurs pour ça que quel que soit ton profil, c’est vraiment utile de côtoyer le profil inverse, ou en tout cas de varier ton cercle social. Les investisseurs ont tout intérêt à rajouter un peu de sens et de passion, tout comme les entrepreneurs feraient bien d’écouter les conseils avisés des investisseurs.
Tu peux même avoir une posture différente selon tes business ! Je connais des Business Flippers qui délèguent 100% de la gestion de certaines de leurs boites, et qui testent et tentent de jolies opérations sur d’autres business. Un investisseur peut se transformer en excellent businessman en étant bien entouré et conseillé ! Il ne sera jamais un pro de la culbute et de l’efficience, mais il sera de bon conseil pour atteindre la liberté financière par exemple.

– Et pourquoi les entrepreneurs ne créent pas tout simplement leur boite s’ils ont des projets qui leur tiennent à cœur ?

– La plupart le font dans les faits. Racheter un business plutôt que le lancer, c’est un gain d’énergie, de temps (et d’argent si c’est bien fait) colossal ! Ils prennent juste un raccourci utile. La plupart des entrepreneurs auront moins de business que les investisseurs car ils y consacrent plus de temps et d’énergie. Mais leurs culbutes financières peuvent également être bien supérieures ! Ce sont d’excellents partenaires pour parler stratégies marketing ou obtenir des conseils pour booster son business.

– Mais… ils arrivent à s’entendre les investisseurs et les entrepreneurs ? Je veux dire, ils n’ont pas vraiment les mêmes intentions ni les mêmes objectifs.

– Effectivement, bien qu’ils fassent la même activité sur le papier, ils ont deux profils totalement différents. Et pour tout dire, dans le monde du business, c’est assez rare qu’ils s’entendent bien ! Mais dans le Business Flipping Club, on les aide à se rencontrer… et à s’aider. La synergie de leurs points forts est bluffante !

(Une sacrée synergie)

Imagine la même chose dans l’art : si les fans d’art nuls en investissement pouvaient rencontrer et apprendre des pros de l’investissement en art qui n’aiment pas l’art… on obtiendrait des investisseurs plus mesurés, passionnés mais lucides. C’est pareil pour le business : les émotions des uns rencontrent l’intellect des autres, et c’est gagnant gagnant pour tout le monde !

– Mais les gens ultra cérébraux et rationnels… ils ne peuvent pas vraiment venir ici si c’est un club d’aventuriers !

– Oui et non : c’est sûr qu’on n’accueille pas vraiment les investisseurs purs en mode « père de famille heureux de leur PEL à 4% max par an ». Vu que c’est un investissement un peu plus risqué qu’un PEL, il faut quand même avoir un minimum l’âme de businessman, ou en tout cas de l’ambition. Et contrairement à l’immobilier, les gens qui investissent ici croient dans le fait que l’entrepreneuriat change le monde ! On peut dire que nos membres sont tous des businessman d’élite ambitieux qui ont compris à quel point c’est malin d’acheter un business plutôt que de le créer ou d’investir autrement.

*une jeune femme sort faire son jogging, en glissant un sourire au passage*

– Je vois que tes yeux sont bien ouverts ! Elle a probablement ton âge. Elle débute dans notre club, mais elle a déjà acheté un business. Elle s’est fait conseiller, et a eu accès à de très jolies opportunités grâce à notre réseau interne.

– On ne peut trouver des entreprises que via ce réseau ?

– Non, techniquement tu peux proposer à n’importe qui de lui racheter sa boite. Le truc, c’est que quand on ne sait pas évaluer un business, difficile de proposer un prix juste… Du coup on conseille aux débutants de se faire accompagner pour leur premier achat ! Et cet investissement est très rapidement rentabilisé.

– Hm… et qui peut m’accompagner si je veux me lancer ?

– Vu ton profil, je te conseille de demander à Bertrand Millet. C’est un serial entrepreneur qui fait ça depuis plus de 20 ans, et qui vit du Business Flipping depuis quelques années. Là il se caille dans les pays nordiques, mais il repasse bientôt dans le coin avant de traverser tous les pays d’Afrique du sud au nord.

– Tous les pays d’Afrique ?! Mais il part combien de temps ?

– Oh, quelques mois, peut-être plus. Tu sais, il passe sa vie en voyage donc rien de particulièrement déroutant pour lui.

– Mais il vit de quoi ?

– Eh bien des bénéfices générés par ses business pardi ! Clairement s’il voulait se la couler douce il pourrait… Mais c’est un VRAI entrepreneur pour le coup, pas trop du genre à siroter des cocktails au bord d’une piscine tant qu’il aura des choses à dire et à transmettre.

– Et il n’en a pas marre d’être toujours sur la route ?

(Même quand il n’y a pas de classe business dans l’avion, Bertrand trouve du sens à être sur la route)

– Je ne vais pas te dire que ça ne lui arrive jamais de se demander ce qu’il fout tout seul dans un hôtel perdu dans la pampa. Mais il aime sa vie, il aime les gens qu’il a rencontrés en voyageant (grâce au business le plus souvent), les entrepreneurs, cette façon de voir le monde. Il déteste les investisseurs qui font de l’argent juste pour faire de l’argent, car ça manque profondément de sens à ses yeux. Pour lui, le Business Flipping c’est la liberté ET l’aventure ! Et vu que ça lui permet de réaliser son rêve de gosse, il ne risque pas d’arrêter de si tôt.

– Son rêve de gosse ?

– Oui, visiter tous les pays du monde.

– … ça en fait un paquet.

– Bertrand parle de 248 pays, l’ONU en recense 195… Peu importe, ça en fait un paquet effectivement ! Et tu sais, c’est pas franchement du genre à voyager en classe éco ou en stop… du coup heureusement qu’il gagne confortablement sa vie !

– Peut-être que c’est pas son genre parce qu’il gagne bien sa vie.

– Tu ne perds pas le nord ! Mais tu sais, beaucoup d’autres business flippers voyagent, plus ou moins tout le temps. Certains finissent par s’expatrier à l’étranger, d’autres partent plus épisodiquement… Mais au final, ils ont tous choisi d’investir pour le goût du challenge ET la volonté d’être libres financièrement, voire géographiquement. Pouvoir vivre d’où on le souhaite, organiser son planning, aller courir à 11h du matin comme la jeune fille de tout à l’heure… Autant de privilèges somme toute très accessibles.

– Mais si c’est SI cool, pourquoi tout le monde ne vit pas de ça ?

– Parce que c’est récent ! Ça existe depuis qu’il est devenu très (trop ?) facile de créer sa boite (par exemple avec l’arrivée du statut d’auto entrepreneur et l’essor du web). Aujourd’hui le business a subi une amateurisation galopante en France, et avec l’arrivée des intelligences artificielles le phénomène risque de s’accentuer. Sauf que 92% des business qui sont lancés chaque année sur le web s’écroulent : beaucoup d’appelés et très peu d’élus, ce qui donne pas mal de projets abandonnés sur le bord de la route…

(Un projet peut-être abandonné à peine trop vite)

– … qu’on va venir cueillir gentiment. Je crois que je vois le bail.

– Et ce « bail » te plait ?

– Ben le plan investissement accessible, rentable et facile qui permet de se mettre bien et de voyager au soleil… c’est plutôt plaisant, oui.

– Évidemment avant de tout envoyer bouler et de t’acheter des tongs, il va falloir passer à l’action, acheter un business, le booster et le revendre. C’est plus rapide que la bourse ou l’immobilier, mais on n’est pas non plus à Poudlard.

– Oui je me doute. Mais ça va hein, j’aime bien mon taf actuel… j’ai juste envie d’arrêter de checker mon compte en banque 3 fois par jour et de pouvoir partir en vacances plus d’une fois par an.

– Comme je te comprends !

– Et du coup… comment on peut le contacter, ce fameux Bertrand ?

– Tu peux aller ICI pour obtenir ses conseils. Il peut t’accompagner dans ton premier achat, te conseiller, te trouver une pépite… Mais tu peux aussi juste te former avec lui si tu préfères te la jouer débrouillard évidemment.

– Hm… Je suis pas un grand aventurier comme je te disais tout à l’heure.

– Dans ce cas, n’hésite pas à bien t’entourer effectivement ! Nous voilà revenus au point de départ… la visite t’a éclairé ?

– Tout à fait, en mode boule à facette.

(Romuald a vécu l’illumination)

– Tant mieux. Dans ce cas je te souhaite une belle aventure business, et de jolies culbutes !

– …

– Je parle de culbutes financières hein.

Alors, prêt.e pour l’aventure ? Pour le challenge ? Si tu t’es reconnu.e dans les profils rencontrés au Business Flipping Club, c’est que toi aussi tu as ta place. Tu peux venir te nourrir d’échanges avec d’autres entrepreneurs passionnés, profiter du club pour faire des rencontres, voyager, te dépasser… Tu as encore des questions ? Tu en veux plus ? Alors tu peux t’inscrire juste ici !

C’était Nadège, en direct du Business Flipping Club